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Que savez-vous de ces femmes scientifiques marocaines ?

Que savez-vous de ces femmes scientifiques marocaines ?

Un nombre de femmes marocaines scientifiques font des progrès importants dans la discipline traditionnellement dominée par les hommes.

Dans presque tous les secteurs, les femmes sont non seulement sous-représentées, mais elles sont aussi sous-estimées. Le domaine des sciences n’en fait pas l’exception. Si-dessus, vous trouverez plus d’informations sur ces femmes.

Asmaa Boujibar

Asmaa Boujibar venue d’une famille maroco-tunisienne, née en 1984. La jeune a effectué son bac à Casablanca, sa licence à Renne en science de vie, son premier master à l’île de la Réunion sur la volcanologie et les processus magmatique, son deuxième master à Clermont-Ferrand dans tout ce qui traite les processus magmatique aussi.

Ainsi que son doctorat en planétologie mais en s’orientant plus vers la paléontologie et la métrologie expérimental. L’agence spatiale américaine (NASA), l’a recruté en 2004 et rejoint le team en tant que chercheuse post-doctorante au « Carnegie Institution for Science ».

Rihab Sadik

Rihab Sadik, une jeune de 27 ans. Agée de 9ans, elle déménage aux USA ainsi que sa famille. Elle a obtenu sa licence en sciences et en génie biomédical à l’université Rutgers de New Brunswick, assisté au lancement de la Station spatiale internationale (ISS). Novembre 2016, KBRwyle, une entreprise mondiale de services gouvernementaux, l’a recrutée pour poste contrôleur biomédical de la NASA.

Sadik faisait partie de l’équipe de l’ISS qui a assisté au lancement de deux astronautes, Christina Koch et Nick Hague de la NASA, le 29 mars. En tant que contrôleur biomédical, Rihab surveille la santé des astronautes et leurs signes vitaux tels que leur rythme cardiaque, leur niveau d’oxygène sanguin, leur pression sanguine, la température de leur peau et leur volume respiratoire.

Zineb Mouline

Zineb Mouline ayant une formation approfondie en chimie. Après avoir obtenu son doctorat en chimie et en chimie physique des matériaux à l’École nationale de chimie de Montpellier en France, Mouline s’est installée au Japon. Elle a rejoint le département des matériaux d’avant-garde de l’Institut de technologie de Nagoya, et a depuis trouvé sa place au pays du soleil levant.

Elle parle couramment le japonais et travaille avec le département de chimie appliquée de la prestigieuse université de Tokyo.

Merieme Chadid

Chadid est une jeune casablancaise, née dans les années 1969. À 12 ans, elle découvre son amour de l’astronomie grâce à un livre de Johannes Kepler qui lui a été offert par son frère. Elle obtient une maîtrise en physique et en mathématiques à l’université Hassan II de Casablanca, puis en 1993, elle a obtenu un Master of Advanced Studies à l’Université de Nice Sophia Antipolis et trois ans plus tard, elle a obtenu un doctorat en Astronomie et Espace à l’Université Paul Sabatier grâce à ses recherches sur la détection des ondes de choc hypersoniques dans les étoiles pulsantes et l’explication de leur origine.

Ainsi qu’un diplôme universitaire le plus élevé, l’Habilitation HDR, et un second doctorat, à l’Université de Nice Sophia-Antipolis. Chadid a également suivi plusieurs programmes de formation de cadres à la John F. Kennedy School of Government, à l’université de Harvard.

Meriem Chadid est une astronome, exploratrice et astrophysicienne franco-marocaine. Peu de temps après avoir obtenu son doctorat, elle a été recrutée comme ingénieur de recherche au Centre national français de la recherche scientifique. Entre 1998 et 2001, elle a fait partie d’une mission réussie pour installer le plus grand télescope du monde dans le désert le plus sec et le plus hostile : Le désert d’Atacama au Chili.

En 2005, elle a été la première personne à planter un drapeau arabe « Marocain » en Antarctique. L’astronome a également figuré sur la liste des trente travailleurs les plus intéressants et les plus fascinants du monde établie par le magazine Forbes.